Et oui,
c'est la fin des vacances...
Cette année, nous ne pouvions pas nous quitter
sans prendre le temps de nous voir,
et, de tout l'été,
nous ne nous sommes pas beaucoup vus...
Alors, aux Omergues,
la fin des vacances s'est déroulée en trois temps...
Vendredi 14 août, c'était "repas tiré du sac"...
Chacun est venu avec ce qu'il voulait partager, sur l'aire de pic-nique, à côté de la maison de Pays du Jabron...
La princesse était là, pour nous offrir son sourire
et les tables ont été dressées, en respectant des distances raisonnables, pour permettre à chaque famille et aux amis de se retrouver avant les premiers départs...
Dimanche 16 août, c'était journée crêpes,
organisée par la Maison de Pays...
Là encore, les distances ont été respectées,
les familles restant le plus souvent groupées...
Et, c'est à distance qu'on a pu écouter
l'orchestre installé devant la chapelle...
Et, vendredi 21, c'était le point d'orgue de la saison marquée par l'absence de tout événement...
Les habitants se sont retrouvés sur la place de la mairie,
où des tables avaient été installées.
C'était d'abord l'occasion de prendre un apéritif, chacun venant avec quelque chose à boire ou à manger...
Mais, en cuisine, Bruno le cuisinier et ses amis nous avaient préparé une superbe soupe au pistou. Le travail de toute une journée, et même plus...
Il est temps de passer à table, et la disposition des tables permettait de rester à bonne distance...
Au menu :
Melon et jambon de montagne,
La Soupe au Pistou,
Une belle assiette de fromages,
et pour finir, fruits et gâteaux...
La soirée à pu se prolonger une peu plus tard dans la nuit...
Ces réunions ont été l'occasion d'échanges multiples et variés, parlant du beau temps et du manque de pluie, mais aussi de ces projets qui pourraient voir le jour pour faire vivre le village...
Une idée a été très discutée et a retenu l'attention de beaucoup :
pourquoi le village ne se doterait-il pas
d'un "four à pain" ?
Chacun est reparti avec cette idée en tête, et ne doutons pas que durant les veillées cet hiver, que ce soit ici dans nos montagnes, ou, là-bas, en ville, on va en reparler et creuser l'idée...
Qui sait, l'année prochaine le projet verra-t-il le jour...