Ce dimanche, nous avons profité du soleil pour aller faire un tour du côté du "Géant de Provence"...

Alors, nous sommes partis, cheveux au vent et sourire aux lèvres...

Notre première étape est au Château du Barroux.
De la terrasse on a une très belle vue sur la Vallée du Rhône, vers Avignon, et sur le Mont Ventoux.

Nous n'avons pas eu le temps de visiter le château, car il y avait beaucoup de monde.
Et nous n'avons pas pu voir la chapelle qui est fermée pour travaux...

L'étape suivante nous conduit à l'abbaye Sainte Madeleine.
L'abbaye est récente, puisqu'elle date de 1980.
Elle compte une soixantaine de moines bénédictins.
Elle est dans un très beau site, au pied des dentelles de Montmirail, mais seule l'église se visite, sauf si vous souhaitez faire une retraite.
Nous sommes dimanche, et il y a beaucoup de monde, car nous arrivons pour la sortie de la messe.
Le code vestimentaire est bien respecté. Blazer et cravate pour les messieurs, jupe longue et cardigan pour les dames...

Après avoir pique-niquer dans le parc, nous reprenons la route.
Nous nous arrêtons pour découvrir ce qu'il reste de l'aqueduc du Barroux...

Nous nous arrêtons à l'abbaye Notre Dame de l'Annonciation.
Ici aussi, c'est une abbaye récente, puisqu'elle date de 1986.
Elle compte une trentaine de religieuses bénédictines.
Et, là encore, seul le transept gauche de l'église se visite...

Nous passons par Malaucène, et nous nous arrêtons pour visiter l'église Saint Michel.
L'église est assez sombre, mais très belle.
Anne se recueille quelques minutes devant la chapelle de Sainte Anne.
Et, il est temps de partir. Le cadran solaire nous le confirme...

Sur la route vers le sommet du mont Ventoux, nous nous arrêtons à la chapelle du Groseau, mais, elle ne se visite pas...

Nous faisons une halte au Mont Serein.
C'est la station, été comme hiver, du Mont Ventoux.
Avec les changements d'enneigement, il est recommandé de se renseigner pour les périodes d'ouverture en hiver...

Et, nous arrivons au sommet.
Il  est toujours aussi dénudé,
Et il est toujours aussi difficile de se garer.
C'est le point final de l'ascension pour les cyclistes, mais aussi pour les motards, toujours plus nombreux et toujours plus bruyants...

Nous reprenons le chemin du retour.
Dans la forêt, au dessus d'Aurel, nous croisons un très beau cerf.